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On cuisine Lydia Képinski
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Forte d’un deuxième album intitulé « Depuis », salué d’une nomination au prestigieux prix Polaris (boum!), Lydia Képinski est l’une des plus pétillantes jeunes pousses d’ici. On a eu la chance de passer un moment avec la chanteuse et compositrice montréalaise.
Elle nous a fait danser avec « MTL me déteste », mais on ne comprend pas très bien ce qui a pu provoquer l’ire de la métropole tant Lydia est sympathique en personne.
D’entrée de jeu, Lydia ne s’en cache pas, elle adore la bouffe. En fait, un seul aliment a l’interdiction absolue d’entrer chez elle (voir plus bas). Le plaisir et l’aventure sont au centre de son assiette comme de sa musique.
D’ailleurs, elle vous en promet, du plaisir et de l’aventure pour son spectacle du 8 juillet au FEQ. Avec sa vive répartie, on n’est pas au bout de nos surprises.
Les questions coupées au montage
Lydia ne mange jamais avant un show parce que, dit-elle, « je ne veux pas que ma digestion interfère avec ma performance » (!!).
Elle mange de tout et adore goûter de nouveaux aliments ou de nouvelles recettes. Par contre, si vous êtes invité chez elle, il est important de savoir que la betterave est persona non grata. No bett pour Lydia.
Quand on lui demande le plat qui l’a marquée la première fois qu’elle y a goûté, Lydia nous parle d’un mets inconnu dont la saveur s’apparente à « du gazon qui aurait macéré dans un estomac bovin… ». Oooook.
On a mis un hareng, un litchi et une guédille devant Lydia en lui demandant lequel elle dévore, goûte ou crache. Originale jusqu’au bout, elle a décidé de dévorer avant tout le hareng et de goûter à la guédille (en se donnant le droit de la dévorer aussi). Et Lydia fait dire qu’elle recrache la betterave.